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Nos voyages lents, Saint-Jacques, Shikoku,...

Nos voyages lents, Saint-Jacques, Shikoku,...

Pour vous faire partager nos voyages lents sur les chemins de Saint Jacques et tous les beaux chemins du monde...

Publié le par Pascale Aurejac Rovira
Publié dans : #Frances 2024 retour

Nous étions bien dans notre albergue quasiment seuls, ce matin réveil à 7h, Jean-Louis nous prépare un café au lait soluble et pèle les oranges. Pas de bol, elles ne sont pas bonnes, nous avons l’impression de manger de la paille. Bah ce n’est pas bien grave, nous devrions trouver quelque chose dans 3 km.

En passant sur le petit pont romain, nous nous retournons pour admirer le groupe de maison dans lequel a été fait l’auberge. Le jour de lève doucement et la brume monte.
En passant sur le petit pont romain, nous nous retournons pour admirer le groupe de maison dans lequel a été fait l’auberge. Le jour de lève doucement et la brume monte.
En passant sur le petit pont romain, nous nous retournons pour admirer le groupe de maison dans lequel a été fait l’auberge. Le jour de lève doucement et la brume monte.

En passant sur le petit pont romain, nous nous retournons pour admirer le groupe de maison dans lequel a été fait l’auberge. Le jour de lève doucement et la brume monte.

Hélas comme la dame espagnole nous l’avait dit tout est fermé, nous nous consolons en profitant des petits chemins et de la campagne qui s’éveille sous un timide soleil par moment bien voilé par les nuages. La température est idéale pour marcher. 

La campagne Galicienne et une sympathique rencontre avec un beau cheval.
La campagne Galicienne et une sympathique rencontre avec un beau cheval.
La campagne Galicienne et une sympathique rencontre avec un beau cheval.

La campagne Galicienne et une sympathique rencontre avec un beau cheval.

Une forêt de châtaigniers et une petite route peu fréquentée
Une forêt de châtaigniers et une petite route peu fréquentée

Une forêt de châtaigniers et une petite route peu fréquentée

Nous continuons notre balade sur les chemin entre arbres ou arbustes qui bordent les champs. Nous suivons aujourd’hui aussi la nationale et nous la croiserons ou nous en approcherons mais fort heureusement nous ne restons jamais bien longtemps à son contact bruyant. 

La brume voile le soleil, toujours beaucoup d’eau partout et l’humidité qui remonte sous forme de brume au dessus des ruisseaux.
La brume voile le soleil, toujours beaucoup d’eau partout et l’humidité qui remonte sous forme de brume au dessus des ruisseaux.
La brume voile le soleil, toujours beaucoup d’eau partout et l’humidité qui remonte sous forme de brume au dessus des ruisseaux.
La brume voile le soleil, toujours beaucoup d’eau partout et l’humidité qui remonte sous forme de brume au dessus des ruisseaux.

La brume voile le soleil, toujours beaucoup d’eau partout et l’humidité qui remonte sous forme de brume au dessus des ruisseaux.

Nous arrivons à Boente de Abaixo et sur la gauche, le bar d’une auberge est ouvert “Fuente Saleta” le patron fort sympathique nous prépare des toasts avec un bon pain au levain brun grillé et nous porte de la confiture maison. Il nous donne un petit raccourci qui nous fera gagner un peu de temps car l’étape du jour est longue et cumule beaucoup de montées et de descentes pour passer sur de petites et plus grosses rivières 

Une pause petit déjeuner bienvenue
Une pause petit déjeuner bienvenue
Une pause petit déjeuner bienvenue

Une pause petit déjeuner bienvenue

En avant, nous remontons à l’envers. Le flot de pèlerins semble beaucoup moins important tout juste une petite vingtaine aujourd’hui et pas mal de petits sacs à dos. Des pèlerins occasionnels comme les a appelé notre aubergiste.

Sinon, la vie à la campagne avec les travaux des champs et les belles vaches brunes

Le printemps semble vouloir arriver déjà, arbres en fleurs. Dans les forêts des frênes, des châtaigniers, des chênes et des eucalyptus. Il nous semble qu’en 2015, nous n’avions vu les eucalyptus qu’en allant à Finistère et Muxia
Le printemps semble vouloir arriver déjà, arbres en fleurs. Dans les forêts des frênes, des châtaigniers, des chênes et des eucalyptus. Il nous semble qu’en 2015, nous n’avions vu les eucalyptus qu’en allant à Finistère et Muxia
Le printemps semble vouloir arriver déjà, arbres en fleurs. Dans les forêts des frênes, des châtaigniers, des chênes et des eucalyptus. Il nous semble qu’en 2015, nous n’avions vu les eucalyptus qu’en allant à Finistère et Muxia
Le printemps semble vouloir arriver déjà, arbres en fleurs. Dans les forêts des frênes, des châtaigniers, des chênes et des eucalyptus. Il nous semble qu’en 2015, nous n’avions vu les eucalyptus qu’en allant à Finistère et Muxia
Le printemps semble vouloir arriver déjà, arbres en fleurs. Dans les forêts des frênes, des châtaigniers, des chênes et des eucalyptus. Il nous semble qu’en 2015, nous n’avions vu les eucalyptus qu’en allant à Finistère et Muxia
Le printemps semble vouloir arriver déjà, arbres en fleurs. Dans les forêts des frênes, des châtaigniers, des chênes et des eucalyptus. Il nous semble qu’en 2015, nous n’avions vu les eucalyptus qu’en allant à Finistère et Muxia
Le printemps semble vouloir arriver déjà, arbres en fleurs. Dans les forêts des frênes, des châtaigniers, des chênes et des eucalyptus. Il nous semble qu’en 2015, nous n’avions vu les eucalyptus qu’en allant à Finistère et Muxia
Le printemps semble vouloir arriver déjà, arbres en fleurs. Dans les forêts des frênes, des châtaigniers, des chênes et des eucalyptus. Il nous semble qu’en 2015, nous n’avions vu les eucalyptus qu’en allant à Finistère et Muxia

Le printemps semble vouloir arriver déjà, arbres en fleurs. Dans les forêts des frênes, des châtaigniers, des chênes et des eucalyptus. Il nous semble qu’en 2015, nous n’avions vu les eucalyptus qu’en allant à Finistère et Muxia

Nous évitons le cœur de Melide et continuons sur notre route un petit bois de bouleau, très joli avec tous ces beaux troncs blancs. 

Nous croisons un poligone industriel, midi est passé, nous nous y arrêtons pour manger un menu du jour avant le coup de feu. Important de bien manger, il nous reste des kilomètres avant Palas de Rei qui est notre destination du soir. 

Le pont de Melide, un bois de bouleau, pause à l taverne du Poligone et Jean-Louis se prend pour Obelix.
Le pont de Melide, un bois de bouleau, pause à l taverne du Poligone et Jean-Louis se prend pour Obelix.
Le pont de Melide, un bois de bouleau, pause à l taverne du Poligone et Jean-Louis se prend pour Obelix.
Le pont de Melide, un bois de bouleau, pause à l taverne du Poligone et Jean-Louis se prend pour Obelix.
Le pont de Melide, un bois de bouleau, pause à l taverne du Poligone et Jean-Louis se prend pour Obelix.

Le pont de Melide, un bois de bouleau, pause à l taverne du Poligone et Jean-Louis se prend pour Obelix.

Le chemin est beau entre petits ponts et chemins mais nous sommes sur 27 km et un dénivelé positif en cumul de 643 m. Jean-Louis le trouve long, mais il gère et un pas après l’autre nous arrivons à l’auberge municipale de Palas de Rei pas très loin de la mairie. Il est pas loin de 17h. Nous pensions nous délester encore un peu à la poste, mais c’est fermé l’après-midi et demain c’est samedi. 

Un pont romain la jolie église Romane de Leboreiro
Un pont romain la jolie église Romane de Leboreiro
Un pont romain la jolie église Romane de Leboreiro
Un pont romain la jolie église Romane de Leboreiro
Un pont romain la jolie église Romane de Leboreiro
Un pont romain la jolie église Romane de Leboreiro

Un pont romain la jolie église Romane de Leboreiro

Des arbres en fleurs et enfin Palas de Rei
Des arbres en fleurs et enfin Palas de Rei
Des arbres en fleurs et enfin Palas de Rei
Des arbres en fleurs et enfin Palas de Rei
Des arbres en fleurs et enfin Palas de Rei
Des arbres en fleurs et enfin Palas de Rei
Des arbres en fleurs et enfin Palas de Rei

Des arbres en fleurs et enfin Palas de Rei

L’auberge est bien occupée, asiatiques et espagnols peut être à la marge une ou deux françaises. Nous communiquons moins, nous ne les reverrons pas et eux se reconnaissent et ont deja constitués leur petite famille. 

Nous sommes passés dans une pharmacie, plus de côté douloureuse mais un rhume qui me brûle la gorge et fait couler mon nez. 

Dînette a l’auberge, nous nous sommes achetés deux gobelets car il n’y a strictement rien dans les cuisines des auberges depuis le COVID. Puis camomille et caña dans un petit bar à côté car rien ne passe au travers des murs épais de l’auberge. 

Palas de Rei
Palas de Rei

Palas de Rei

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